Le mois saint de Ramadan, avec ses dépenses et ses caprices si difficiles à satisfaire, est à nos portes. Pourtant, à vue d’œil, et connaissant les exigences des consommateurs pendant cette période, nous n’avons pas constaté une amélioration concernant l’approvisionnement des marchés et des grandes surfaces. Les produits de base sont toujours absents des étals. Quant aux prix, ils continuent, de plus belle, leur envol. Un exemple : le prix du kg de poulet (PAC) frôle les dix dinars. Alors, on vous laisse imaginer la mercuriale de Ramadan. Pourtant, il y a une solution pour venir à bout de la spéculation : consommer modérément (comme à l’accoutumée) et ne pas céder à la fièvre acheteuse. Plus facile à dire qu’à faire. Mais qui ne tente rien n’a rien.