Le mois de Ramadan, avec ses exigences, est à un peu plus de deux semaines, et les prix des denrées de base ne baissent pas. Pire, ils sont en train d’évoluer, dans la mauvaise direction, bien entendu. Sans compter le manque—pour ne pas dire la pénurie—de certains produits. On pense notamment au lait, mais il y en a d’autres. Bien sûr que les autorités font de leur mieux, mais ce mieux n’est pas suffisant. Il faut passer la vitesse supérieure et aller à l’origine du mal. Et surtout ne pas baisser la garde. C’est un combat de longue haleine où les contrebandiers et les spéculateurs ont plusieurs longueurs d’avance. Alors, la vigilance et persévérance sont recommandées.