Toujours à propos du vandalisme de certains énergumènes dont c’est la marque de fabrique et qui se sentent fiers et heureux comme des coqs après leurs exploits, ce ne sont pas les moyens de transport seulement qui en sont les victimes, mais tout y passe. Rien n’arrête ces gens. Il suffit de faire un tour en ville pour constater leurs méfaits et les dégâts après leur passage. Même des monuments en béton armé, qui ont traversé des décennies, n’ont pas résisté à leur hargne. Pour exemple, il suffit d’aller voir —à la rue de Bélgique près de la gare— un nouveau salon d’esthétique dont les propriétaires ont dépensé une fortune rien que pour le décor de la façade. On ne vous en dit pas plus.