Si les boulangers n’ont pas transgressé la loi et l’ont appliquée dès le 1er jour en s’abstenant de vendre le pain dans des sachets plastiques, ces derniers (les sachets) n’ont pas disparu pour autant. C’est qu’apparemment, et à moins d’une erreur de notre part, rien n’a été fait en amont pour interdire la fabrication de ces sachets et leur vente. C’est ainsi que, et là c’est de visu, des individus sont postés devant les boulangeries et écoulent ces produits et, vogue la galère, on revient à la case départ. Tout le monde est content et la pollution a encore de beaux jours devant elle.