A propos de notre rubrique du vendredi, il est vrai qu’il y a des conducteurs de métro et de bus qui roulent à tombeau ouvert, risquant l’irréparable à tout moment. Mais il n’en est pas moins vrai que, s’agissant des portières ouvertes, cela n’est pas tout à fait de leur faute, puisque ces métros et bus ont été tellement vandalisés — et même martyrisés — que plus rien ne fonctionne et que c’est un miracle qu’ils arrivent à circuler encore. Et cela n’est imputable ni à la Transtu ni à son personnel.