Il y a des gens qui n’ont aucune conscience professionnelle — je dirais même pas de conscience du tout. C’est ainsi que, parce qu’il n’y a aucun contrôle — la direction faisant confiance à ses agents —, ces indélicats se contentent de pointer, font un petit tour et puis, après avoir constaté que leurs collègues sont bien là, ils prennent la poudre d’escampette pour ne revenir que le lendemain et tourne manège. Encore plus fort, si les collègues, pour une raison ou une autre, tardent à se présenter, ils leur téléphonent pour leur demander de se dépêcher. Et à la fin du mois, ils sont les premiers et les plus virulents à se faire payer, et en cas de retard, ils rouspètent à qui mieux mieux. Plus arrogants, il n’y en a pas !