Dans les grandes et même les petites villes—et à cause de l’étroitesse des rues (des ruelles plutôt), de la profusion des moyens de transport et de la densité de la circulation, sans compter les étals anarchiques qui encombrent l’espace—, le piéton est obligé de faire de la haute voltige pour pouvoir se déplacer et arriver sans trop d’encombre à son lieu de destination. Ce qui n’est pas toujours possible car, en plus des handicaps déjà cités, il y a certains qui usent et abusent de l’espace public en se garant sur les trottoirs ou carrément en biais sur la chaussée. Et les agents de la fourrière, d’habitude si zélés, ne réagissent pas. Les mauvaises langues (ce n’est pas notre cas Dieu merci, !) diraient que ces indélicats ont de bonnes relations et, de ce fait), n’ont rien à craindre… Mais que ne dit-on pas ! ?