Les vendeurs à la sauvette et leurs marchandises aussi diverses que bigarrées sont présents partout et ont envahi tous les espaces aussi bien les chaussées que les trottoirs, obligeant les automobilistes et même les piétons à slalomer ou faire des détours pour arriver à leurs destinations. Nous ne contestons pas à ces citoyens leur droit au travail, bien au contraire. Il s’agit de leur réserver des lieux pour exercer leur profession, en toute tranquillité, et de désencombrer les lieux occupés actuellement et les restituer à leur fonction originelle. C’est aussi simple que cela et, à la longue, tout le monde trouvera son compte.