A l’approche de l’été, les gardiens de voiture autoproclamés se multiplient sur les terrains vagues, les environs des cafés et restaurants et autour des plages. Les tarifs de 2DT l’heure à 4DT la séance varient selon le niveau du lieu squatté par ces contrôleurs au regard sévère. Le client perdu, envisageant le pire, préfère autant payer que trouver son véhicule amoché ou ne pas le trouver du tout.
Dernière trouvaille de ces hommes au gourdin, si jamais l’automobiliste oubliait de réclamer son ticket, preuve suprême de sa bonne foi, un autre se pointe au départ du client malchanceux pour lui réclamer le ticket, sinon bis repetita, il faut repayer. Question: jusqu’à quand ce métier non réglementé, qui s’appuie sur l’intimidation des gens, va-t-il encore prospérer ?