Il suffit de se promener dans Tunis pour évaluer la situation du pays. La capitale est devenue laide, sale, et,pour tout dire,invivable. Les travaux de modernisation liés à l’évolution inéluctable du temps n’ont pas eu lieu, ni ceux d’embellissement, ni même de réparation du mobilier urbain, des chaussées et trottoirs défectueux. Sans vouloir adhérer à une vision passéiste, somme toute …