Qu’il y ait des pannes, on le comprend. Que cela se répète quelquefois —sur le long terme— on l’admet. Mais que cela arrive toujours au même endroit et assez souvent, cela devient lassant. A la Cité Mohamed Ali à Radès, il arrive souvent qu’en pleine nuit —et même si la météo est clémente—, il y ait une panne électrique —qui est— il faut le reconnaître— réparée (partiellement) assez rapidement. Pourquoi partiellement? Parce qu’une partie de cette cité (toujours la même) reste privée d’électricité assez longtemps, étant connectée à une phase (c’est le jargon électrique) apparemment pas au point. Si tel est le cas (nous n’en savons rien, mais nous constatons et surtout nous subissons), qu’on trouve une solution une fois pour toutes et qu’on n’en parle plus. Un problème de moins pour tout le monde.