Enfin, il a été mis fin à cette aberration. De quelle aberration parlons-nous ? De ces comptes bancaires qui — bien que plus mouvementés pour une raison ou une autre — ne sont pas clôturés automatiquement par les banques après une période définie et continuent — alors qu’ils sont en hibernation profonde — de subir des prélèvements jusqu’à être complètement phagocytés et devenir débiteurs alors que, parfois, leurs titulaires sont décédés, et ces débits peuvent monter jusqu’à des centaines de dinars que les ayants droit doivent honorer. Ce qu’ils ne feront pas — et pour cause — et la situation restera telle quelle. Les banques auraient dû s’inspirer de la Poste où les choses se passent autrement.