Après Henchir Echaâl, c’est le Domaine d’Enfidha qui a fait l’objet —à l’occasion de la Journée de l’Arbre— de la visite du Président. Il ne pouvait en être autrement, vu l’importance de ce domaine. Et évidemment, le constat était effarant. Inutile d’y revenir. Et le chapelet est loin d’être égrené. Car il y a d’autres domaines —pas aussi importants— mais qui ont subi des dégâts alors qu’ils étaient des fleurons. Mais faut-il attendre la visite du Président pour faire bouger les choses?
A chacun de prendre ses responsabilités.