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A part les pièces de 100 et 50 mm, il n’y a pratiquement plus de petite monnaie, ce qui n’est pas normal et engendre — quelquefois — des frictions, surtout avec des individus (trop) pointilleux, mais qui, au fond, n’ont pas tort d’exiger leurs dus. Et pourtant, on continue à libeller les prix au millime près.
Mais finalement, ce sont les commerces qui sont les plus finalisés puisque — n’ayant pas la petite monnaie —, ils n’ont d’autres alternatives que de baisser leurs prix au chiffre arrondi inférieur, ce qui, rapporté au nombre de ventes, leur cause des préjudices.
Dans le cas contraire, ils s’exposent à des remontrances de la part de leurs clients et, éventuellement, à des sanctions en cas de contrôle. Que faire ?
