Accueil Culture Sahriyet été 2020 à Hammamet | «Sous confinement, de la musique à inventer»

Sahriyet été 2020 à Hammamet | «Sous confinement, de la musique à inventer»

Sahriyet été 2020 du Centre culturel international de Hammamet à Dar Sebastian se poursuivent avec des spectacles culturels de grande facture artistique alliant la musique et la chanson au théâtre, aux arts chorégraphiques et au cinéma, au bonheur de tous les publics. 

Au programme du lundi 17 août 2020, les sorties de résidences du projet « Sous Confinement, de la Musique à Inventer » qui s’inscrit dans le cadre du programme « Bassamat » d’appui à la diversité culturelle et artistique, initié par le ministère des Affaires culturelles.  Huit jeunes artistes tunisiens ont pris part à cette soirée avec des créations musicales assistées par ordinateur (MAO) : Mahmoud Turki, Amel Sdiri, Nassim Belhassen, Mohamed Barsaoui, Zied Bagga, Nesrine et Wael Jaber, Slim Ben Salah.  Les huit porteurs de projets, qui ont été sélectionnés pour suivre les sessions d’accompagnement artistique et technique qui se sont déroulées en période de confinement, sont issues de divers horizons.  Certains sont des artistes professionnels, poly-instrumentistes et pluridisciplinaires, parfois même autodidactes, évoluant dans la scène alternative, d’autres ont un parcours plus traditionnel, mais toujours professionnel, et tous ont participé à de nombreux festivals, manifestations culturelles et concerts, en Tunisie ou ailleurs.  Quelques-uns, toutefois, sont de simples amateurs, passionnés de musique. Ces artistes expérimentés ou en herbe ont présenté des œuvres qui témoignent de l’effervescence de la créativité dans le domaine artistique et culturel tunisien grâce à la fraîcheur de l’inspiration, au goût du mélange, de l’expérimentation et du partage. Le métissage est la plupart du temps fécond. Il produit du neuf, de l’insolite, de l’inattendu. C’est aussi avec toute la générosité, l’énergie positive et l’entrain qui sont les leurs qu’ils ont offert au public des performances où l’ego surdimensionné laisse allègrement la place au désir de communion…

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