C’est dans sa maison de La Marsa que Sinda Belhassen exposait l’autre soir. Un événement qu’elle voulait festif, accompagné de musique et joliment convivial. L’artiste avait, quant à elle, une autre raison : ce qu’elle présentait, déclarait-elle, n’était pas le travail abouti et complet qui pourrait être présenté dans une galerie, mais un cheminement, un parcours… La Presse — Que faut-il …