En crise à la fois éthique et identitaire, le paysage politique a visiblement mauvaise mine. Il pâtit d’une image déplorable. Faute de pouvoir (ou de vouloir) reposer sur une vision objective : les a priori semblent éternels dans les pourparlers et les alliances relatifs à la formation du gouvernement, mais aussi à la présidence de l’Assemblée des représentants du peuple …