La crise du manuel scolaire n’aurait jamais eu lieu si on avait mis en place ou du moins amorcé la digitalisation. On dit que « celui qui n’apprend pas de ses erreurs du passé est condamné à les commettre à l’avenir ». Et il semble que nous serons, de nouveau, confrontés à ces erreurs, manquement, imprévoyance ou autres agissements du même ordre …