Il faisait treize degrés lorsque le coup d’envoi du marathon Comar a été donné. Et cela faisait plaisir à voir : les « professionnels, l’air grave et concentrés, les prétendants qui essayaient de se caser le plus près possible des favoris (ne cherchez pas, ce sont les Kényans !), les amateurs qui sautillaient pour se donner bonne contenance, « les fous du macadam », et …