On arrête pour un oui ou pour un non l’extraction des richesses du pays durant des mois, alors que l’Etat s’affaiblit, s’endette et quémande à droite et à gauche pour faire face à des obligations auxquelles il n’aurait jamais dû souscrire. Ce n’est plus un secret pour personne : nous sommes devenus, redevenus plus exactement, dépendant de l’importation de …