Jadis, Marius Bernard, dans son livre, « Les Côtes Barbaresques », décrivait Sfax comme « une ville sous une housse blanche, des remparts qu’on dirait bâtis de la veille, des maisons qui semblent avoir les pieds dans les vagues, des tours, des créneaux, des dômes roses que surmonte le croissant… ». Alors qu’aujourd’hui, ce qui se passe à la …