Comment rendre à nouveau présentes et visibles, pour un lecteur, ici et maintenant, des images et des tranches de vies qui viennent du passé ? La question saute à l’esprit et résonne à la lecture des premières lignes de l’ouvrage « Quelqu’un meurt au sud » de notre collègue, l’écrivain-journaliste au journal Assahafa, Kamel Hlali. « Sheikh Hamida regarda l’embouchure du puits. Au …