Dédiée à «une aube dont l’absence a trop duré, à un crépuscule qui refuse de partir», mais aussi «à la patrie…», (p.5), la poésie de Wided Ridha El Habib qui meuble son dernier recueil intitulé «Chahiyon kel wided» (Délicieux comme l’amour) s’inscrit dans le combat naturel de l’homme contre les ténèbres et la désespérance. Imprégnée de sensualité, elle porte au …