Ils ont afflué de Sfax, Kairouan, Kasserine, Médenine, Bizerte et ont occupé, jeudi matin, avec leurs banderoles, slogans et drapeaux, une grande partie de la plateforme face à la municipalité de Tunis, sur la place de la Kasbah. Parce que leur voix peine à être entendue par le gouvernement et le Parlement notamment, les victimes de la répression se sont …