La nouvelle mise en scène de Saïd Kabil est restée fidèle à la vision de Samuel Beckett : de longues pauses, du silence et des répétitions, contribuant à l’absurdité de la situation et à rendre l’atmosphère lourde. Première œuvre jouée, il y a 62 ans, par la troupe égyptienne Al Taliaa, mise en scène par Saad Ardach. «Fin de partie» …