Hier, de nombreux citoyens se sont rendus aux urnes pour accomplir leur devoir électoral, à savoir désigner le candidat à l’élection présidentielle qui prendra les rênes du pays pour les cinq prochaines années. Malgré l’importance de l’échéance, il n’y avait pourtant pas foule dans les ruelles tortueuses de la Médina. Attablé tôt le matin devant un café de Bab-Souika, non …