Le tribunal administratif a estimé, dès le départ, que le Conseil supérieur de la magistrature était incompétent pour statuer sur le dossier de l’ancien procureur général qui comportait plusieurs erreurs procédurales. Depuis les événements du 25 juillet, la justice tunisienne est sous les projecteurs. Sévèrement critiquée par le Président de la République à l’exception de ceux qu’il appelle les «juges …