Inflexible depuis le début du processus du 25 juillet, Saïed acceptera-t-il de faire machine arrière ? Cédera-t-il à la pression exercée par tout le monde, y compris la commission consultative qu’il a lui-même mise en place ? Est-il en mesure d’amender la nouvelle Constitution avant même son adoption ? Tant de questions qui se posent alors que le processus de rectification, comme l’appelle …