Le Snjt incombe la régression du classement de la Tunisie « à la baisse des indicateurs de la liberté de la presse, la fréquence élevée des violations contre les journalistes, des procès et des arrestations, la poursuite des comparutions des civils devant la justice militaire, le manque de communication du pouvoir en place et l’atteinte au droit des citoyens à l’information …