«Il n’y a plus d’avants-centre de métier. A part Khénissi et Chawat, c’est le vide. Pourtant dans les années 70, il y en avait à profusion. Je me rappelle de feu Akid, Khouini, Ouada, Adhouma, Baayou et tant d’autres. Ce vide a poussé plusieurs équipes à recruter des Algériens et des continentaux. Nos jeunes sont donc négligés. A part l’ESS …