Dire aujourd’hui que la révolution a suscité de la déception parmi les Tunisiens, c’est risquer de passer pour un radoteur, tant la chose est ressassée par tout un chacun. Toutefois, comme on ne manque pas de le rappeler souvent, on ne saurait lui contester une chose, à savoir qu’elle a libéré la parole. Y compris, bien sûr, la plus débridée …