Tristesse, ô combien, à la suite du décès de Zouhaïra Salem. Nos générations se croisent, et pour avoir partagé la passion des grandes voix, nous nous tînmes longtemps compagnie. Du remords, aussi. La maladie de Zouhaïra fut longue ;hélas, pendant tout ce temps, et sans réelles excuses, je ne l’ai plus revue. C’est sans rattrapage, je le crains. Les médias …