Tiktok, facebook, instagram… : Les réseaux sociaux peuvent détruire la vie de jeunes vulnérables

Chaque jour, des groupes sont créés, de nouveaux liens se tissent, des mariages et des divorces ont lieu par l’intermédiaire des réseaux sociaux, ainsi que des recrutements de personnes vulnérables pour différents trafics de drogue, de pédophilie, de prostitution, d’immigration clandestine, de banditisme et d’extrémisme religieux.

L’informatique joue un rôle clé dans l’industrie des biens d’investissement et est déterminante pour le progrès. C’est pourquoi l’Etat s’efforce depuis longtemps de renforcer la compétitivité de l’informatique par des mesures d’aides sélectives.

En outre, un grand nombre d’applications de nouvelles techniques d’information s’impose dans plusieurs foyers. Et la plupart des administrations publiques et privées ont informatisé leurs services et ont mis en place de nouvelles techniques pour le développement et l’amélioration de la qualité de leurs prestations.

En ce qui concerne les jeunes diplômés ou au chômage, issus de familles aisées ou de familles nécessiteuses, ils ne parlent que de tik-tok, facebook et instagram.

Ainsi, chaque jour, des groupes sont créés, de nouveaux liens se tissent, des mariages et des divorces ont lieu par l’intermédiaire des réseaux sociaux, des recrutements de personnes vulnérables pour différents trafics de drogue, de pédophilie, de prostitution, d’immigration clandestine, de banditisme et d’extrémisme religieux.

D’où l’importance de la famille pour contrôler leurs progénitures afin qu’elles ne soient pas exploitées par des gens peu scrupuleux.

D’ailleurs, ce qui s’est passé tout récemment pour quatre collégiennes, qui se sont connues par l’intermédiaire de groupes sur facebook, prouve que les réseaux sociaux peuvent devenir très dangereux pour l’intégrité physique et morale de tout individu.

En effet, ces quatre adolescentes, issues de quartiers populaires et âgées entre 13 et 16 ans, ont quitté en même temps leur domicile familial, en fin d’après-midi du samedi 28 mai, laissant leurs parents dans le désarroi, les pleurs, l’angoisse et la peur de l’inconnu.

Et c’est grâce aux investigations et aux recherches entreprises par les unités sécuritaires qu’on a pu les localiser, quatre jours plus tard, sur la plage de Monastir. Ainsi, on a ordonné l’ouverture d’une enquête minutieuse pour savoir qui les a hébergées pendant ces quatre jours, qu’ont-elles fait ou subi ?

En outre, une prise en charge psychologique leur a été prodiguée et un avocat a été mis à la disposition des familles.

Laisser un commentaire