Les organisations nationales estiment que la campagne de dénigrement et de diffamation ciblant Chawki Tabib vise à remettre en cause la nécessité de continuer la lutte contre la corruption en Tunisie. Et d’appeler les autorités concernées à entamer une enquête à cet effet pour poursuivre en justice ceux qui sont à l’origine de ces actes de diffamation pour éviter la propagation du discours de la haine en Tunisie.
Dans un communiqué rendu public, hier, l’Union générale tunisienne du travail (Ugtt), l’Union tunisienne de l’industrie, du commerce et de l’artisanat (Utica), le Syndicat national des journalistes tunisiens (Snjt), la Ligue tunisienne des droits de l’Homme (Ltdh), l’Ordre national des avocats de Tunisie (Onat) et l’Union nationale de la femme tunisienne (Unft) ont fait part de leur soutien unanime et inconditionnel au président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption (Inlucc), Chawki Tabib, suite à la campagne de diffamation qui le vise, ainsi que sa famille.
Les organisations nationales qui se disent complètement solidaires du président de cette instance dénoncent fortement une telle campagne orchestrée « par des parties qui soutiennent la corruption et la culture de l’impunité ». Les signataires de ce communiqué mettent en garde contre le silence et le laxisme face à de telles pratiques qui portent atteinte à la dignité du président de l’instance chargée de combattre la corruption ainsi qu’à sa famille.
Les organisations nationales précitées estiment dans ce sens que cette campagne de dénigrement et de diffamation ciblant Chawki Tabib vise à remettre en cause la nécessité de continuer le chemin de la lutte contre la corruption en Tunisie. Et d’appeler les autorités concernées à entamer une enquête à cet effet pour poursuivre en justice ceux qui sont à l’origine de ces actes de diffamation pour éviter la propagation du discours de la haine en Tunisie.
Le président de l’Instance nationale de lutte contre la corruption (Inlucc), Chawki Tabib, fait face, ainsi que sa famille, à une campagne de diffamation et de dénigrement provoquée notamment par la propagation d’une rumeur sur une éventuelle enquête pour suspicion de blanchiment d’argent à l’encontre de sa femme. L’Inlucc avait formellement démenti ces rumeurs indiquant qu’elles s’inscrivent dans le cadre d’une campagne orchestrée contre l’instance et son président.
L’Inlucc qui dénonce des campagnes de diffamation lancées depuis 2016 contre l’épouse de Chawki Tabib et les membres de sa famille, rappelle que la voiture du président de l’instance avait été saccagée par des inconnus et leur maison avait été cambriolée à deux reprises.