Enfin, il semble que tout le monde s’est rendu compte que cette situation ne pouvait durer indéfiniment et qu’il fallait trancher et ainsi le Syndicat de l’enseignement a opté pour la désescalade. Tant mieux ! C’est la raison qui a prévalu. Il n‘ y a ni perdant ni gagnant. Si, tout de même, il y a des gagnants. Ce sont les élèves qui peuvent reprendre les cours et leurs parents qui ont un problème de moins. Mais il ne faut pas en rester là. Ce statu quo ne peut se prolonger indéfiniment, sinon on reviendra à la case départ. Des solutions doivent être trouvées et appliquées selon un calendrier convenu.