On en a parlé plusieurs fois mais, malheureusement, en vain. Cela n’a pas l’air de troubler autrement ces fauteurs de troubles qui n’en font qu’à leur tête. Il s’agit de ces énergumènes qui empêchent les portières automatiques des trains de se fermer. Et malgré les appels répétés des conducteurs, ils continuent de plus belle. Ce qui, parfois, provoque la colère des conducteurs qui, excédés, quittent leur poste et laissent le train à quai. Et les usagers dans tout cela ? Eh bien, ce sont les dindons de la farce et ils sont obligés d’attendre le bon vouloir des uns et des autres. N’y a-t-il pas moyen de faire entendre raison à ces irréductibles?