On en a déjà parlé, on en reparle encore. Il s’agit de certains individus qui, consciemment ou sans s’en rendre compte, se comportent dans la rue et dans les lieux publics comme s’ils leur appartenaient à eux seuls. C’est ainsi que, s’ils sont plusieurs à circuler sur un trottoir ou en train de discuter, ils occupent toute la largeur du trottoir, sans laisser aucun espace pour les autres passants.
Le pire, c’est lorsqu’ils se mettent dans l’embrasure d’une porte d’un magasin ou d’une grande surface et entament une conversation ou se mettent à «contempler» les passants et la circulation, tout en «empêchant»—avec un sans-gêne incroyable—les clients d’entrer ou de sortir. Et si jamais quelqu’un rouspète, il en prend pour son grade.