A la Sonede, on ne badine pas avec les tarifs et cela se comprend avec la raréfaction de plus en plus des précipitations entraînant dans son sillage la diminution des ressources hydriques.
Alors que les barrages font peine à voir, des concitoyens inconscients —c’est le moins qu’on puisse dire— ne se gênent pas pour user et abuser de cette eau si précieuse. Et lorsqu’ils reçoivent les factures trimestrielles ils tombent des nues et n’hésitent pas à rouspéter. Et ne paient pas. Et la Sonede dans tout cela ? Eh bien, elle met du temps pour réagir et recouvrer ses dus. Un suivi plus rigoureux devrait être de mise pour le bien de tout le monde.
T.B.