Selon des habitants de la Cité Mohamed-Ali à Radès, les conduites des égouts de certaines rues—et ce n’est pas la première fois—sont bouchées et rejettent leurs immondices à l’air libre, inondant ainsi les chaussées et incommodant les riverains et les passants, d’une part. D’autre part et de ce fait, les habitations qui sont reliées à ces canalisations subissent le contrecoup et leurs toilettes sont à leur tour bouchées. On vous laisse imaginer la situation. Et l’Onas dans tout cela ? Il est aux abonnés absents. Et pourtant, nonobstant la santé publique, les services de l’Onas reviennent chers, encore plus chers que l’eau potable. Les citoyens sont donc en droit d’attendre des services plus rapides.