Le constat ne cesse de préoccuper les Tunisiens : tout incite à croire que la crise des céréales est provoquée. Plus encore : les parties qui en sont la cause sont connues. Leurs actes, leurs pratiques et leurs démarches inconséquents ne cessent de les trahir. Il s’agit de ces spéculateurs et de ces trafiquants qui, sans scrupule, font tout pour affamer les Tunisiens.
Environ 6.528 tonnes de produits subventionnés et 8,45 tonnes de sel alimentaire ont été saisies, le 15 août, lors d’une campagne de contrôle effectuée dans 15 minoteries par les forces de l’ordre, la Garde nationale et les cadres et agents des ministères des Finances et du Commerce, ainsi que de l’Office des céréales.
En détail : 1.597 tonnes de farine subventionnée, 99,5 tonnes de farine de qualité supérieure, 1579,6 tonnes de semoule, 3100 tonnes de blé et 151,9 tonnes de son.
Le sens de responsabilité et le sentiment d’appartenance à une nation ne font plus partie des priorités de certains acteurs intervenant dans les activités économiques et sociales. C’est dire combien ils s’éloignent de la réalité, combien ils ne s’assument pas et comment ils perdent de plus en plus la confiance des Tunisiens.
La crise économique et ses retombées sont la conséquence de dérives dans lesquelles certaines parties avaient entraîné la Tunisie. Ceux qui avaient pris les destinées du pays au lendemain de la révolution en assument visiblement une grande partie.
Il semble, d’ailleurs, entendu que les valeurs et toute la signification qui s’y rattachent avaient déjà perdu leur sens et leur raison d’être tout au long du règne d’Ennahdha et de ses alliés contre nature. La Tunisie, comme ils la concevaient, comme ils l’avaient dénaturée avait perdu ses vertus, ses moralités. Elle était entrée dans une phase de dérèglement et de déstabilisation générale. Les standards et les règles communément respectés étaient tout simplement bafoués.
Autant il est nécessaire aujourd’hui de tirer les enseignements des dérives engendrées par la spéculation, autant la réhabilitation est impérative. Principale directive: les secteurs et les activités sensibles ne peuvent plus, ne doivent plus être laissés entre les mains de ceux qui n’en ont pas le profil requis et qui manquent de vision et de fiabilité.
Les perspectives sont toujours là, mais la priorité serait de faire de la vigilance la réponse aux dépassements et aux débordements de tous genres.
Dr. E. Moudoud
20 août 2023 à 20:26
SI JALEL IL FAUT FUSILLER CES CHIENS SUR LA PLACE PUBLIQUE…PLACE ‘DES MOUTONS’ OU ‘MAAKEL EZZAIM’. SI LAHBIB L’AURAIT FAIT DEPUIS LONGTEMPS ET SANS LA MOINDRE HÉSITATION. VOS DONNÉES NE LAISSENT AUCUN DOUTE SUR L’AMPLEUR ET LA GRAVITÉ DE CES CRIMES CONTRE NOTRE PEUPLE. GAGNER DE L’ARGENT …QUI EST CONTRE? MAIS PAS EN ‘AFFAMANT’ NOTRE PEUPLE DONT LA ‘VENGEANCE’ …À VENIR CONTRE CES CHIENS BIEN CONNUS, SERA TERRIBLE. VIVE LA TUNISE. VIVE LA RÉPUBLIQUE. VIVE KAIS SAIED. BOURGUIBA NE MOURRA JAMAIS…JAMAIS.