Décidément, il ne se passe pas un jour — même le dimanche — sans que la Sncft n’inflige des misères à ses usagers. Si ce ne sont pas les retards, les suppressions de trains, ce sont les débrayages. Tout cela fait partie du quotidien. Pour en revenir à dimanche, le train de 8h00 (à peu près), au départ d’Erriadh, s’est arrêté avant d’entrer à la gare de tunis en face du dépôt F. Hached. Commence alors une longue attente sans aucune explication. Enfin, et après une vingtaine de minutes environ, les portières du train s’ouvrent, invitant implicitement les passagers à compter sur eux-mêmes et à rejoindre à pied leur destination. Je vous laisse imaginer le calvaire enduré par ces gens sous un soleil de plomb et par une chaleur caniculaire. A quand la fin de cet enfer ?
Pourquoi | Les caprices des transports…
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