Puisqu’on est au début de la rentrée scolaire et qu’on parle, de plus en plus, d’une consultation pour réformer le système éducatif, une constatation s’impose. C’est la baisse de niveau—mais alors d’une façon catastrophique—de la maîtrise des langues, notamment l’arabe et le français. Et cela même dans les universités où des étudiants, diplômés en langues, ne savent pas rédiger une simple demande de recrutement. Incroyable, mais pourtant vrai. Alors, imaginez que ces candidats aspirent à devenir professeur, et de langue en plus.
Pourtant, pour contrecarrer ce déficit, il existe quelques solutions. Nous y reviendrons.