La coalition Al Karama n’est pas parvenue finalement à faire adopter à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) sa motion exigeant des excuses officielles de la part de l’Etat français pour «ses crimes à l’encontre du peuple tunisien pendant l’ère coloniale». Un nouveau rebondissement sur la scène parlementaire tunisienne qui a enfoncé le clou dans un paysage politique déjà frappé …