Grâce à la direction pointue d’Erige Sehiri, « La voie normale » dévoile au spectateur l’envers du décor, celui du secteur ferroviaire tunisien et de ses failles. Un cri de détresse qui s’annonce retentissant, projeté dans les salles obscures tunisiennes à partir d’hier 27 mars. Trains, chemins de fer, wagons abandonnés, parfois accidentés, grisaille et bruits de fer en permanence, voyageurs en …