Les comités directeurs de l’instance présidant aux intérêts des producteurs, agriculteurs et pêcheurs n’ont fait que dépoussiérer les communiqués, changer leurs dates et les ont republiés pour expliquer que les producteurs ne s’en tirent pas avec les augmentations successives des composants de ces produits et intrants destinés à l’alimentation animale. Et voilà «la crise» des œufs qui ressurgit. Cela n’a …