Une nouvelle dérive du gendre du président du mouvement islamiste qui démontre qu’il y a de ces acteurs politiques qui peuvent être plus mauvais que médiocres. Ou encore qui n’hésitent pas à s’enferrer dans le déni, le mensonge et la provocation. On savait que le paysage politique post-révolution déchaîne les passions et qu’il passionne plus qu’il ne raisonne. Mais …