L’état dans lequel évolue le paysage audiovisuel tunisien est piteux. C’est le moins que l’on puisse dire. Un ascendant de médiocrité qui s’abat et qui prend de l’ampleur d’une année à l’autre : des contenus de moins en moins sérieux et constructifs, une tendance vers la banalisation et la légèreté à même de heurter les mœurs et les valeurs sociales, …