Il vaudrait mieux ne plus parler, chez nous, de développement ni de progrès, encore moins de relance de l’économie et de croissance. Pourquoi s’acharner à vouloir parler de choses qui, paraît-il et à notre humble avis, ne sont pas fait pour nous, que dire alors d’y espérer un jour les voir prendre forme? Loin d’être excessif ou de vouloir jouer …