L’interdiction irrévocable des étals anarchiques dans la ville a été appliquée à la lettre, dès le 12 septembre dernier, et ce, sur instructions présidentielles. La ville de Tunis retrouve, depuis, son éclat, mais à quel prix ? L’état des lieux. Il faut dire que les économistes et les décideurs sont unanimes sur l’impératif de lutter contre le commerce informel …