A force de taquiner la nature, celle-ci a fini par se retourner contre ses assaillants et a commencé par répliquer. Et ce n’est pas de la tarte. Et tout le monde y passe sans distinction, aussi bien les pays industrialisées —qui sont les vrais responsables —que les pays du tiers monde qui—par leur laxisme—ont laissé faire et, de plus, ont fourni les matières premières dont regorgent leurs sous-sols. C’est ainsi qu’à fin mai (le début de l’été), des inondations sont signalées notamment dans l’hémisphère nord avec des précipitations en quelques petites heures équivalentes à un mois de pluies, alors qu’ailleurs, la sécheresse sévit en plein hiver, et ce, depuis quelques années déjà. Cela suffira-t-il pour que l’homme reprenne conscience de ses actes ? Espérons-le !
